Sédir Jeanne D'Arc

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On connaît l'histoire de Jeanne d'Arc, du moins pour les grandes lignes et pour les incidents extérieurs. Or c'est tout ce que l'on peut espérer en connaître, car la véritable histoire se cache dans une ombre impénétrable.

Quoi qu'en pensent le public crédule et les érudits, d'une autre manière aussi crédules, lorsqu'on a été instruit des dessous de certains événements, lorsqu'on a reçu de certains personnages quelques confidences sincères, il faut bien s'avouer que les pièces originales les plus secrètes peuvent être, sont presque toujours inexactes.

La foi naïve des archivistes a beau admettre leur véracité, il n'en reste pas moins évident que tout homme d'État sait qu'un écrit demeure ; nous le savons bien nous, simples particuliers ; ce n'est que dans les romans que le criminel ou le héros tient un journal de son crime ou de sa vertu.

Que Jeanne fut Champenoise et non Lorraine ; que son nom s'écrive avec ou sans particule ; qu'une de ses soeurs, Claude, ait joué auprès d'elle, puis, après elle, de 1436 à 1440, un rôle guerrier sous le nom de Dame des Armoises ; que son père, par ses fonctions municipales dans un village situé sur la grand'route de Langres à Domremy, ait reçu de certains émissaires des nouvelles fréquentes concernant la situation de la France ; que les communautés franciscaines avec saint Bernardin et sainte Colette de Corbie aient aidé partout la jeune fille et aient mobilisé en sa faveur les moines et le peuple ; que sa mission ait ete une lutte contre les Templiers reconstitués en Angleterre, soutenue par le parti gaulois et celtique ; que l'être qu'elle désignait sous le nom de Roy du Ciel ait ete le chef occulte de ce parti, résidant aux environs de Mende ; que la duchesse Anne de Bedford l'ait visitée dans sa prison comme représentante des Lords ennemis des Templiers : tout cela reste encore invérifiable ; ce sont d'ailleurs des " comment ".

Il me semble d'un intérêt plus pratique de rechercher avec vous les " pourquoi " et les " parce que ". C'est la vie intérieure de notre héroïne, sa formation spirituelle qui doit nous intéresser, car la sublimité de l'âme vitalise les événements, tandis que les événements ne peuvent transporter au surhumain les velléités d'une âme vulgaire.

A aucune époque, peut-être, plus qu'à la nôtre, des voix aussi nombreuses ne se sont élevées contre les patries ; on a le devoir de les tenir pour sincères. Cependant la formation d'une patrie est un phénomène aussi naturel que la formation des différentes classes sociales.

Qu'aujourd'hui se fasse un partage exact des fortunes, est-ce que, dans un siècle, il n'y aura pas des riches et des pauvres ? Dans notre corps, est-ce que les jambes ne se fatiguent pas davantage que les muscles du tronc ? Est-ce que les cellules du muscle cardiaque ne travaillent pas jour et nuit, tandis que d'autres se reposent ?

Il faut en revenir à la grande théorie ancienne que découvrent la sociologie et la psychophysiologie modernes : tout individu est une collectivité, toute collectivité est un individu. Le genre humain est un être dont les races et les peuples sont les organes et les hommes, les cellules.

Le but vers lequel Dieu l'oriente, les mouvements qu'Il lui imprime nous demeurent plus inconnaissables que le plan de la bataille au fantassin. Nous savons seulement que le but existe et que la bataille se livre ; tout lutte sans cesse et partout ; une respiration qui entretient notre vie, un repas, un mouvement déterminent dans notre organisme des morts innombrables.
Chaque race, chaque peuple joue son rôle, choisi par la Providence. Il y a une spécialisation ethnique aussi nécessaire que la spécialisation des métiers. Si chacun devait bâtir sa maison, tisser ses vêtements, cultiver son blé, instruire ses enfants, s'instruire lui-même, faire lui-même les mille objets dont il se sert journellement, devenir pour son propre compte philosophe, savant, artiste, comment nous en sortirions-nous ?

L'Asiatique a son travail, l'Européen, l'Américain, le leur ; l'Italie est incapable de faire le travail de l'Angleterre, et la Chine celui de la France. Tout peuple est choisi pour une certaine besogne, comme tout individu : l'intuition qui anime chacun d'eux, c'est leur idéal particulier.

Regardons l'Europe pendant les siècles lointains où elle s'organise. Une race que je crois autochtone, le peuple d'abord : ce sont les Celtes ; mais les autres continents lui envoient des visiteurs : des Atlantes, des Noirs, des Jaunes. Puis, après des cycles, l'Église et l'État se consolident lentement, d'abord en Italie, en Espagne, en France.

Mais la vie sociale y oscille entre le pôle de Lumière : une societe chrétienne communiste, et le pôle de Ténèbres : une societe d'impérialisme antichrétienne. Entre les nations, la France est choisie pour porter un certain flambeau, et elle le porte à travers un déluge de douleurs. Vous vous souvenez du moyen âge, de ses guerres, de ses épidémies, de ses famines, et de son invincible foi ? Vous représentez-vous ce que furent les Croisades et la guerre de Cent ans ?

Sans doute, en subissant la terrible calamité des suites de laquelle nous souffrons tous encore, vous êtes-vous demandé pourquoi les siècles n'apportent pas d'amélioration stable à notre sort, sauf dans le domaine matériel ; toujours les mêmes misères, les mêmes violences, les mêmes ruses ; toujours le même triomphe des mauvais ; toujours le même écrasement des petits.
Mais il faut reconnaître que telle est la loi de la Matière ; toujours ses adorateurs détiendront le pouvoir jusqu'à l'heure terminale du grand règlement de comptes ; toujours les adorateurs de l'Esprit seront victimes, comme leur Maître ; telle est la loi de l'Amour.

La vie ressemble à une balance dont un seul plateau est visible : celui du Mal ; le plateau du Bien reste caché aux regards de l'observateur ; la Lumière ne descend ici-bas que pour être engloutie par les Ténèbres, qu'elle modifie mystérieusement.

Les époques de grande perversité insolente sont les époques des grandes saintetés inconnues ; car, si les maux s'additionnent, les sacrifices et les implorations se multiplient.

Or, entre toutes les nations de l'Europe, la France fut choisie de Dieu pour accomplir parmi ses soeurs cadettes l'oeuvre de Lumière.

Elle n'a pas à tirer orgueil de cette élection : elle n'a fait que ce que le Ciel lui a donné la force de faire ; d'ailleurs, comme le saint qui reste humble devant la foule vénérante, la France est restée humble ; nous sommes le moins chauvin des peuples, nous trouvons mieux tout ce qui se fait à l'étranger, nous n'avons à priori que des critiques pour tout ce qui se passe chez nous ; et c'est cette inconsciente modestie qui nous rend capables de suivre les impulsions d'En Haut.

Ce qui constitue une patrie, ce n'est pas sa population, sa richesse, sa culture, c'est l'ensemble des énergies spirituelles dont sa personnalité visible n'est que le corps géographique, social et intellectuel.
Quand les théologiens ou les contemplatifs nous parlent des anges des nations, ils n'entendent pas indiquer les rayonnements des travaux de ses habitants ; ils pensent à des êtres indépendants d'elles, préexistants à elles, et commis pour transmettre aux âmes collectives les ordres et les secours directs du Ciel.

Comme l'individu, la nation possède son moi psychique, dont le peuple terrestre n'est que le corps. C'est le moi qui unifie les innombrables éléments heterogènes venus de toute la planète ; c'est le moi qui inspire et ce peuple et ses chefs, selon son intelligence propre, selon les tentations que lui présente l'ange de Satan, selon les lumières que lui offre l'ange du Christ.

Toutefois, dans les heures désespérées, le Maître de l'Univers envoie un secours exprès à la créature en détresse, que ce soit un homme, un pays ou un astre.

J'énumérerais volontiers les diverses circonstances où notre patrie fut sauvée par un bras glorieux ou obscur, visible ou invisible ; mais les opinions politiques sont pointilleuses ; les noms que je citerais choqueraient certainement l'un ou l'autre ; tenons-nous-en à nommer Jeanne d'Arc, que tous les partis célèbrent maintenant et réclament à l'envie.
Ainsi, entre toute créature et le reste de la création, se hiérarchisent un certain nombre d'autres créatures qui l'aident à remplir les fonctions normales de son existence. L'antiquité, les traditions populaires nomment ces collaborateurs esprits, génies, dieux ; et tout l'ensemble de cette organisation constitue l'ordre naturel.

En outre, à travers cela existe, depuis la descente du Verbe, l'ordre surnaturel, qui offre à chaque créature la possibilité d'une communication directe avec le Créateur, au moyen de Son Fils. Cet ordre seul nous intéresse.

Le Christ, la Vierge, leurs anges inspirent l'être qui les appelle, ou suscitent du milieu d'un peuple le patriote capable de recevoir la force qu'ils lui infusent et de l'utiliser. Il arrive encore, lorsque le péril extrême exige pour être conjuré le concours total de la nation, tout ensemble accourue auprès de son sauveur, qu'une inspiration ne soit pas assez entraînante, qu'un ange même déconcerte la foule au lieu de l'enthousiasmer parce qu'il est d'une essence trop étrangère à elle.

Le Christ choisit alors un de Ses Amis, un esprit humain parfait, libre et pur ; Il le charge de la mission salvatrice et lui confère les pouvoirs et les facultés utiles à cet accomplissement. Cet envoyé quitte le Royaume de Dieu, se cherche, dans le peuple qu'il doit délivrer, le pays et la famille qui puissent lui fournir un corps convenable à ses travaux futurs, et il s'incarne.

Tel fut le cas de Jeanne d'Arc, et ainsi s'expliquent les particularités déconcertantes de son existence et de sa mort.

Voici une famille, paysanne quoique la première de son clocher. Le père, homme de tête, paraît-il, et de bon labeur ; la mère, enceinte pour la troisième fois, rêve qu'elle accouche de la foudre ; singulier présage pour ceux qui savent ce qu'est la foudre.

Et, quelque temps ensuite, lorsque l'enfant naît, la nuit de l'Épiphanie 1412, les gens du village s'éveillent et, saisis d'une joie sans motif, se mettent à chanter et à danser. Puis tout rentre dans la monotonie quotidienne.

La petite fille grandit, silencieuse, solitaire, pieuse ; elle veille aux soins domestiques, elle garde les malades et visite l'église et les chapelles ; on ne lui apprend ni à lire, ni à écrire ; rien que le Pater, l'Ave Maria, le Credo, un peu d'histoire sacrée, les légendes saintes, des récits populaires : le minimum le plus réduit à cette enfant qui devra plus tard convaincre hommes d'État, grandes dames et théologiens. Pourquoi ?

Pourquoi le Ciel prive-t-Il toujours Ses envoyés de la culture humaine ? Parce que Son enseignement s'oppose au nôtre en principe et en méthode ; parce que rien ne doit distraire le serviteur élu de l'objectif qu'il lui faut atteindre, rien ne doit prendre la place des forces surnaturelles qui descendent sur lui incessamment autant qu'il peut en recevoir ; parce que, pour tout dire d'un coup, la Lumière ne vient que dans les Ténèbres et jamais ailleurs.

Jeanne priait sans cesse en gardant ses moutons et en filant ; le son des cloches l'émouvait par-dessus tout, souvenir sans doute d'harmonies entendues dans un passé mystérieux.
Or, un après-midi, dans le jardin de son père, une gloire efface devant ses yeux les contours des maisons voisines et des arbres familiers ; saint Michel, le légendaire vainqueur de l'Archange révolté, lui ordonne de partir à la délivrance de son pays ; il revient à plusieurs reprises ; sainte Catherine, sainte Marguerite apparaissent ; et ici la douleur entre en grand arroi dans l'âme de " la pauvre fille, ne sachant ni chevaucher, ni guerroyer ".

L'immense douleur de tout son pays roule sur elle : depuis cinquante ans, moissons saccagées, villages brûlés, hommes d'armes dévastateurs, braves gens au désespoir, opprobres de l'étranger, tout cela pèse sur le coeur de l'enfant, le martyrise et l'affole.

Ses compagnes blâment sa solitude, les garçons se moquent d'elle, ses parents veulent la marier, le curé de Vaucouleurs l'exorcise. Elle entre dans les ténèbres mystiques dont les feux glacés achèvent la trempe des êtres d'exception.

Elle souffre comme dans un enfer, car aucun de ceux qu'elle aime n'est avec elle. Leurs personnes sont là, mais leurs esprits vaguent si loin ; ils ne s'occupent pas des calamités, eux, tant qu'ils ne sont pas atteints ; tout ce que les rouliers, les voyageurs, les moines racontent, ils n'y peuvent rien, disent-ils ; ça ne les regarde pas. Jeanne est seule, avec ses moutons, avec ses éblouissants visiteurs inexorables, car tout ce déluge de misères la regarde, elle, l'impuissante bergère.

Et voici qu'une seconde ténèbre la dévaste. Il y a des gens de bien, pense-t-elle, dans tous ces bons Français qui souffrent ; dans tout ce peuple dont elle dira plus tard qu'au siège d'Orléans " elle n'a jamais pu voir sang de Français sans que ses cheveux ne se lèvent ".

Il y a des braves gens qui font bien leur ouvrage et bien leur prière, et la catastrophe continue ; alors, cela ne sert donc à rien, toutes ces douleurs, depuis le temps qu'elles durent ? Elles sont inutiles, elles se perdent ? Dieu ne les voit pas ? Dieu abandonne tout ce beau pays ?

Le redoutable problème des guerres et des calamités qui, d'âge en âge, renaissent des cendres qu'elles ont faites se pose ici, donnant à Dieu un visage implacable ; mais à tort. En effet, si nous voyons bien ce que ces catastrophes nous infligent, nous ne voyons pas ce qui adviendrait si elles ne se produisaient plus.

D'autre part, les êtres dont l'existence coule tout unie, les peuples qui vivent dans la paix pastorale, que font-ils, dès que le bonheur devient monotone, sinon d'en sortir en s'entre-déchirant ? Les hommes heureux ne s'endorment-ils pas dans le nonchaloir ? Rien de beau naît-il sans lutte et sans souffrance ?

Quand le voisin ne nous attaque pas, ne nous hâtons-nous pas de l'attaquer ? La paix sociale n'exaspère-t-elle pas les convoitises individuelles ? Dans les petites villes, dans les petits clans confortables, la médisance, la calomnie, les intrigues ne fleurissent-elles pas comme les mauvaises herbes dans un champ en jachère ? Non, ni les hommes, ni les peuples ne savent jouir de la paix, sinon pour s'endormir dans l'inertie ou pour inventer des discordes plus perverses. C'est notre folie qui rend la guerre possible.

Telles étaient les lourdes pensées déferlant en tempête sur le coeur ingénu de l'héroïne française. Or ses Voix ne lui expliquent rien ; elles la laissent se débattre dans sa noire incertitude ; elles lui répètent seulement d'aller trouver le Roi et de chasser les Anglais ; et Jeanne se lamente en silence, et tremble et se désespère ; et elle ne peut rien dire à personne.

Et cette agonie dure cinq ans. Contemplons ici l'exemple que nous donnent les ambassadeurs de l'Éternité. Leur Maître porte tout le long des siècles le total complet de tout ce que peut souffrir le genre humain, de tout ce que nos révoltes peuvent faire souffrir à Dieu, de tout ce que l'antique ennemi peut faire souffrir à l'un et à l'autre.

Chaque héraut de l'Absolu passe par une nuit dans le Jardin des Oliviers, dont l'horreur se proportionne à ses forces et au caractère de sa mission. Toutes les larmes de la patrie sont tombées sur le coeur de Jeanne d'Arc, toutes ses blessures l'ont blessée, tous ses désespoirs l'ont ravagée. Ce que le Christ a mis quelques heures à subir pour la chrétienté future, la petite bergère l'a eu pendant presque cinq ans pour sa patrie, ou plutôt pour sa race.

Quoique l'initiation christique se proportionne toujours à la force du sujet qui la reçoit, ceux qui en ont expérimenté la rigueur, se souvenant de leurs angoisses, admireront en toute justice la constance des grands missionnés.

Pour les êtres d'un lignage céleste, les nécessités de la vie matérielle et ses souffrances importent peu. Louis de Contes affirme qu'un morceau de pain suffisait à Jeanne d'Arc ; le Bourgeois de Paris relate que les oiseaux et les animaux des champs venaient manger dans sa main ; et nous savons comment, malgré la cour et les prélats, le peuple se rangea d'instinct sous son étendard.

Tel est l'attrait puissant de la Lumière : la Vie parle à la vie.

Mais la Lumière aussi trouble les Ténèbres et les fait bouillonner ; jamais elles ne se soumettent à sa douce influence ; elles veulent la domination, et c'est elles qui ont inspiré cette maxime à double sens que " la fin justifie les moyens ". Quand la force leur manque, elles emploient la ruse ; tous les missionnés sont donc le plus en butte aux traîtrises, Jeanne d'Arc davantage peut-être qu'aucun autre ; elle avait bien le droit de dire à ses partisans : " Je ne crains que la trahison ".

Aussi attaque-t-elle d'abord la trahison du duc de Bourgogne au profit de l'Angleterre. Immédiatement suspectée par la Trémouille et les gens de guerre, puis par les gens d'église, desservie par l'inconcevable faiblesse du roi Charles VII, c'est Yolande d'Aragon qui oblige celui-ci à la recevoir à Chinon : entrevue dont ce prince sort, dit Alain Chartier, " comme s'il venait d'être visité par le Saint-Esprit ".

A Poitiers, les théologiens lui tendent des pièges : " Beau spectacle, s'écrie le même chroniqueur, que de la voir disputer, femme contre les hommes, ignorante contre les doctes, seule contre tant d'adversaires ". Journellement, le roi et ses favoris contrecarrent ses desseins.

Ce fut une sournoise mesure de Charles VII qui fit échouer sa tentative sur Paris. Écoeurée, elle déposa son armure dans la basilique de Saint-Denis et voulut retourner à son village. Ses Voix lui ordonnèrent de rester.

La cour trouva un berger visionnaire des Cévennes pour l'opposer à Jeanne ; mais sa capture rendit inutile cette fourberie. Les 1O.OOO livres d'or que Jean de Luxembourg reçut des Anglais pour le prix de l'héroïque bergère provenaient d'un impôt levé sur la Normandie.

C'est avec de l'argent français que fut payé le plus pur du sang français.

 

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